Frândza: 1
Alphabet
: Poezii 2010-09-14 (13009 ascoasi tu miydani)
Après le beau temps…
: Poezii 2010-09-18 (11343 ascoasi tu miydani)
Comprendrai-je jamais…
: Poezii 2010-09-18 (6193 ascoasi tu miydani)
Du bleu ?
: Poezii 2010-09-25 (7800 ascoasi tu miydani)
Est-on jamais assez enfant
: Poezii 2010-09-18 (7003 ascoasi tu miydani)
Homonymes
: Poezii 2010-09-18 (80687 ascoasi tu miydani)
La cuisine
: Poezii 2010-09-19 (15794 ascoasi tu miydani)
La faim
: Poezii 2010-09-18 (10078 ascoasi tu miydani)
Le printemps reviendra
: Poezii 2012-02-15 (5788 ascoasi tu miydani)
Le printemps reviendra
: Poezii 2012-02-15 (8666 ascoasi tu miydani)
Le rouge-gorge et les moineaux
: Poezii 2010-10-20 (11094 ascoasi tu miydani)
Le soleil meurt dans tes cheveux
: Poezii 2010-09-19 (7238 ascoasi tu miydani)
Les os de ma mère
: Poezii 2010-09-13 (7022 ascoasi tu miydani)
Litanie des écoliers
: Poezii 2010-11-23 (10577 ascoasi tu miydani)
L'ECOLE
: Poezii 2010-09-14 (12395 ascoasi tu miydani)
L’automne
: Poezii 2010-09-25 (18744 ascoasi tu miydani)
L’homme et l’enfant
: Poezii 2010-09-19 (15335 ascoasi tu miydani)
Mars
: Poezii 2012-02-15 (56832 ascoasi tu miydani)
Mon petit chat
: Poezii 2010-10-20 (24997 ascoasi tu miydani)
NE SAIS-TU PAS QUE TU ES GRANDE
: Poezii 2010-09-13 (6149 ascoasi tu miydani)
Pauvre rat
: Poezii 2010-10-20 (14905 ascoasi tu miydani)
Si je suis né au mois de mai...
: Poezii 2010-09-13 (7676 ascoasi tu miydani)
Si mon père était un ourson
: Poezii 2010-11-21 (21015 ascoasi tu miydani)
Te remercierai-je…
: Poezii 2010-09-19 (16718 ascoasi tu miydani)
Vert
: Poezii 2010-09-25 (11458 ascoasi tu miydani)
WAVRE
: Poezii 2010-09-13 (6476 ascoasi tu miydani)
Frândza: 1 |
|

|
|
|
Biografii Maurice Carême
Maurice Carême est né le 12 mai 1899 à Wavre, d'un père peintre en bâtiment et d'une mère épicière, il a deux sœurs et deux frères. Il passe son enfance à Wavre. À 19 ans, il écrit ses premiers vers de lois inspirés par une amie d'enfance. Il devient instituteur de métier en 1918, tout en continuant à écrire comptines et poésies. Après une période de futurisme (1928-1932), il revient à une poésie simple à destination de la jeunesse. En 1937, le poète s'installe à Anderlecht (Belgique) où il passera le reste de sa vie. À partir de 1943, il se consacre pleinement à la littérature. Il habitera surtout, avenue Nelly-Melba, une maison dite « La Maison blanche » à Anderlecht, aujourd'hui Musée Maurice Carême. Il meurt le 13 janvier 1978 à 79 ans.
Après s'être occupé de La Revue indépendante, Maurice Carême collabore à la revue Anthologie de Georges Linze puis entre à La Revue sincère (1922).
Élu « Prince en poésie » au Café Procope à Paris en 1972 - une plaque commémorative apposée sur la façade le rappelle -, Carême a vu son œuvre traduite dans de nombreuses langues. Il est en particulier très apprécié pour son amour des enfants, un registre essentiel de son œuvre (mais non le seul). Récompensée par de nombreux prix littéraires, illustrée par de grands artistes, son œuvre joint à la simplicité de la forme l'expression d'une joie de vivre qui n'exclut pas une certaine gravité. Il a aussi traduit en français des poètes néerlandophones.
Jeannine Burny qui fut la fidèle secrétaire et la muse inspiratrice de Maurice Carême, présidente de la Fondation, a écrit un livre édité au printemps 2007, intitulé "Le jour s'en va toujours trop tôt : Sur les pas de Maurice Carême". Éditions Racine (Bruxelles). Quelques poèmes de Maurice Carême ont été mis en musique (voix et piano) par le compositeur et musicologue Jacques Chailley (1910-1999
Poésie
•63 illustrations pour un jeu de l’oie (1925)
•Hôtel bourgeois (1926)
•Chansons pour Caprine (Éditions Henriquez, 1930)
•Reflets d’hélices (1932)
•Mère (1935) (Prix triennal de poésie 1937)
•Petite Flore (1937, Prix Edgar Poe)
•La Lanterne Magique (1947)
•La Maison Blanche (1949, Prix de l’Académie française)
•Petites Légendes (1949)
•La voix du silence (1951)
•L'eau passe (1952, Prix International Syracuse, Prix de l’Académie française)
•Semeur de rêves (1953)
•Images Perdues (1954)
•Heure de grâce (1957, Prix Félix Denayer, Prix de poésie religieuse)
•L'Orphelin (1958)
•L'Oiseleur (1959)
•La Flûte au verger (1960)
•La Grange Bleue (1961)
•Pomme de reinette (1962)
•Bruges (1963)
•En sourdine (Éditions du Verseau, 1964)
•La Bien-aimée (1965)
•Brabant (1967, Prix de la Province de Brabant)
•Du ciel dans l'eau (1968)
•Le Sablier (1969)
•Entre deux mondes (1970)
•L'Arlequin (1970)
•Mer du Nord (1971)
•L'Envers du miroir (1973)
•Le Moulin de papier (1973)
•Almanach du ciel (1973)
•De Feu et de Cendre (Éditions Nathan, 1974)
•Complaintes (1975
Traductions du néerlandais :
•Anthologie de la poésie néerlandaise (1967, Prix de la traduction néerlandaise)
•Les Étoiles de la poésie de Flandre (1973)
Autres textes
•Poèmes de gosses (essai, 1933)
•Proses d'enfants (essai, 1936)
•La Passagère Invisible (récit de voyage, 1950)
|