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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2005-05-18 | [Aestu textŭ lipseashti s-hibâ dghivâsitŭ tu francais] | Ânyrâpsitŭ tu bibliotecâ di marlena braester
A nouveau, on dispute l'héritage des pères.
Je ne pouvais pas dire de Jérusalem-Ouest: toute à moi. Pas plus que de Jérusalem-Est: toute à moi. Et il n'y en avait pas d'autre entre les deux. La pierre jetée par un enfant arabe sur un soldat juif, c'est elle le brandon de la discorde. D'ici quelques années un enfant juif la trouvera sans qu'on l'ait retournée, il la brandira et la jettera sur un soldat arabe. L'un dira: toute à moi et l'autre dira: toute à moi et à nouveau, la discorde. Cette année, c'est la fête de Pessah et pas Yom Kippour qui tombe avec celle du Ramadan. Depuis, bon nombre de Juifs et d'Arabes traversent le désert dans des cars de touristes. Bien des années passeront avant qu'à nouveau ces deux fêtes se croisent sur cette même voie à sens unique qui vient de directions opposées. Entretemps, je vois de nouveaux panneaux sur ma route vers Jérusalem: redoublez d'attention pour éviter les accidents. Et d'ici là, tracer cette route dans les deux sens. Il y a encore bien des fentes entre les pierres du Kotel et on y enfoncera nos supplications. Un enfant arabe et un soldat juif échangeront leurs supplications et diront: ni vu, ni connu. Traduit par Yaël Armanet-Czernobroda
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